
Les États-Unis et d'autres pays sont en train d'élaborer un plan qui mènera vers la paix. Nous sommes en train de poser les conditions indispensables au progrès vers l'objectif de deux États, Israël et la Palestine, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Mon gouvernement - et c'est également mon engagement personnel - s'est engagé à mettre ce plan en oeuvre et à atteindre cet objectif. Les vieux cycles de violence au Proche-Orient peuvent être brisés si toutes les parties concernées se détournent de l'amertume, de la haine et de la violence, et se mettent sérieusement au travail du développement économique, de la réforme politique et de la réconciliation. L'Amérique saisira toutes les possibilités d'appuyer la paix. Or, la disparition de l'actuel régime irakien créera une telle possibilité.
En affrontant l'Irak, les États-Unis donnent également la preuve de leur soutien à des institutions internationales efficaces. Nous sommes un membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies. Nous avons aidé à le créer. Nous croyons tellement au bien-fondé du Conseil de sécurité que nous voulons que ses décisions aient du poids.
Un pays à lui seul ne peut pas faire face à la menace mondiale que constitue la prolifération des armes de destruction massive. Le monde a besoin aujourd'hui, et aura besoin demain, d'institutions internationales dotées du pouvoir et de la volonté de mettre fin à la propagation du terrorisme ainsi qu'à la prolifération des armes chimiques, biologiques et nucléaires. Une menace qui pèse sur tous doit être affrontée par tous. Les déclarations nobles contre la prolifération n'ont guère d'importance si les pays les plus forts ne sont pas disposés à les défendre et à avoir recours à la force au besoin. Après tout, l'Organisation des Nations unies a été créée, comme l'a dit Winston Churchill, pour « garantir que la force du droit sera, en fin de compte, protégée par le droit de la force ».
En affrontant l'Irak, les États-Unis donnent également la preuve de leur soutien à des institutions internationales efficaces. Nous sommes un membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies. Nous avons aidé à le créer. Nous croyons tellement au bien-fondé du Conseil de sécurité que nous voulons que ses décisions aient du poids.
Un pays à lui seul ne peut pas faire face à la menace mondiale que constitue la prolifération des armes de destruction massive. Le monde a besoin aujourd'hui, et aura besoin demain, d'institutions internationales dotées du pouvoir et de la volonté de mettre fin à la propagation du terrorisme ainsi qu'à la prolifération des armes chimiques, biologiques et nucléaires. Une menace qui pèse sur tous doit être affrontée par tous. Les déclarations nobles contre la prolifération n'ont guère d'importance si les pays les plus forts ne sont pas disposés à les défendre et à avoir recours à la force au besoin. Après tout, l'Organisation des Nations unies a été créée, comme l'a dit Winston Churchill, pour « garantir que la force du droit sera, en fin de compte, protégée par le droit de la force ».
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